L'humanité est dans une situation problématique, en cela que nos nous détestons les uns les autres. C'est le résultat de notre nature. Nous sommes des êtres égoïstes. Il n'y a pas à s'en cacher, cela se dévoile à nous de manière flagrante. Et si nous ne le voyons pas en nous, nous le constatons au moins chez les autres, dans leur comportement, dans la façon dont fonctionne notre société ou notre gouvernement.
Pourtant, il semblerait que nous somme capable d'aimer... non ?
Non.
Ou plutôt, oui, mais pas de façon naturelle, il y a un changement à faire, ce changement dans notre nature, est ce qui s'appelle dans la kabbale, "correction".
Un question se pose néanmoins ? Qu'en est-il de l'amour que nous semblons constater chaque jour parmi nos proches ou nos amis ? Ici, il nous faut une bonne dose d'honnêteté avec nous même pour comprendre que la situation n'est pas simple... Nous n'aimons pas vraiment ces gens, et il ne nous aiment pas non plus. Ce qu'ils aiment c'est quel que chose d'autre: ce que nous leur procurons. Ou bien inversement, nous aimons chez les autres ce qu'ils nous procure.
Dans la kabbale, cette distinction se nomme "Lumière" et "Récipient". Autrement dit, qu'est qui m'attire chez l'autre, est-ce ce qu'il me procure, ou bien, qui il est, c'est à dire, ses désirs.
De là, provient les différentes sorte d'amour qui existe dans notre monde.
Par exemple, beaucoup de gens aiment le poisson, mais ils les aiment pour les manger, et non pas par romantisme. L’amour égoïste est comme l’amour du poisson. C’est la sensation de plaisir et de satisfaction que quelqu’un retire de l’exploitation de l’autre, car autrui lui procure satisfaction.
Si la satisfaction en venait à disparaitre, "l'amour" qu'il éprouve pour autrui en viendrai également à disparaitre.
Cet amour est opposé à ce que les kabbalistes appelle l'amour, lequel est l'attribut du Créateur, qui désire faire du bien au créature. Et c'est cet attribut que l'homme acquière en son coeur lorsqu'il étudie la kabbale. C'est ce qui s'appelle changer son coeur de pierre en coeur de chair.
Pourtant, il semblerait que nous somme capable d'aimer... non ?
Non.
Ou plutôt, oui, mais pas de façon naturelle, il y a un changement à faire, ce changement dans notre nature, est ce qui s'appelle dans la kabbale, "correction".
Un question se pose néanmoins ? Qu'en est-il de l'amour que nous semblons constater chaque jour parmi nos proches ou nos amis ? Ici, il nous faut une bonne dose d'honnêteté avec nous même pour comprendre que la situation n'est pas simple... Nous n'aimons pas vraiment ces gens, et il ne nous aiment pas non plus. Ce qu'ils aiment c'est quel que chose d'autre: ce que nous leur procurons. Ou bien inversement, nous aimons chez les autres ce qu'ils nous procure.
Dans la kabbale, cette distinction se nomme "Lumière" et "Récipient". Autrement dit, qu'est qui m'attire chez l'autre, est-ce ce qu'il me procure, ou bien, qui il est, c'est à dire, ses désirs.
De là, provient les différentes sorte d'amour qui existe dans notre monde.
Par exemple, beaucoup de gens aiment le poisson, mais ils les aiment pour les manger, et non pas par romantisme. L’amour égoïste est comme l’amour du poisson. C’est la sensation de plaisir et de satisfaction que quelqu’un retire de l’exploitation de l’autre, car autrui lui procure satisfaction.
Si la satisfaction en venait à disparaitre, "l'amour" qu'il éprouve pour autrui en viendrai également à disparaitre.
Cet amour est opposé à ce que les kabbalistes appelle l'amour, lequel est l'attribut du Créateur, qui désire faire du bien au créature. Et c'est cet attribut que l'homme acquière en son coeur lorsqu'il étudie la kabbale. C'est ce qui s'appelle changer son coeur de pierre en coeur de chair.
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